Une chanson de JAZZ pas très JOYEUSE
C’était l’année de leurs 11 ans,
Les imbéciles diraient qu’ils ont fait leur temps
Mais leurs maîtres souffrent en pleurant
Du grand vide laissé par ces absents.
On regarde un canapé laissé vacant,
Un palier sans plus rien en descendant,
Une chambre où ils ne sont plus là respirant,
Et l’on crie en silence face à ce trou béant.
N’ayons pas honte pour ses larmes souvent
Qui roulent sur nos joues, les marbrant :
Nous nous souviendrons longtemps
De leurs mimiques à eux contents
Face à une pomme d’un vert tentant
Ou quand le dialogue s’engageait par aboiements.
La vie avec eux a été vécue sur un air engageant,
Une salsa, une samba ou un rock endiablant.
Ils sont dans notre ciel une étoile scintillant
Depuis le paradis des Boxers, chien si attachants.
A Joyeuse et Jazz qui n’auront fêté leurs 11 ans,
Malheureusement…
Céline Séger.
Pour « son JAZZ »
Et Joyeuse De Da Vallée Du Thin.
Merci Céline pour cette pensée à notre « Joyeuse »